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Découvrez les risques, les symptômes et quelle prévention existe
Au cours d’une morsure, une tique peut transmettre des bactéries qui sont à l’origine de troubles plus ou moins graves.
Difficile à identifier, probablement sous-estimée, et pourtant c’est une problématique largement répandue et vraiment douloureuse, sur les plans physique, émotionnel, psychologique.
Selon l’InVS (Institut de veille sanitaire) : 54 647 nouveaux cas en 2016
84 cas pour 100 000 habitants (contre 51 pour 100 000 habitants en 2015)
Une grande disparité selon les régions (Etude régionale 1986-2012): de 0 à 235 cas/100 000 hab.
Maladie émergente selon l’OMS, classée « zoonose prioritaire » par l’InVS.
Une surveillance est effectuée par :
Le nombre de cas est en augmentation en raison de la prolifération des tiques contaminées.
´Forme localisée précoce = érythème migrant
´Forme disséminée précoce = symptômes multiples avec ou sans EM
´Forme disséminée tardive = symptômes multiples plus de 6 mois après la morsure
´SPPT = Syndrome persistant polymorphe après une possible morsure de tique
Sans traitement, l’infection évolue vers les formes plus complexes avec de multiples symptômes et peut donner lieu à des atteintes invalidantes et des séquelles irréversibles.
– lors de vos promenades, évitez de sortir des chemins et de marcher dans les herbes hautes.
– idéalement portez des chaussures fermées et un pantalon, même en été.
– Au retour de vos promenades, inspectez-vous et vos enfants et retirez sans tarder les tiques trouvées à l’aide d’un tire tique (en pharmacie) : regardez plus précisément les plis cutanés.
– Si une plaque rouge apparaît dans les jours suivants une morsure, consultez votre médecin sans tarder
